solene-suter- Solène Suter

Une enfant vit dans un orphelinat, sa vie va changer un jour, mais est-ce qu’elle aura oublier tout ses malheurs malgré cette nouvelle vie qui a l’air parfaite pour une fillette de sept ans.


Ação Impróprio para crianças menores de 13 anos.

#amitié #séparation #amour #ré-adaptation
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Chapitre 1.

Ces pas sont lents, ses pieds lui font affreusement mal.

La douleur l'empêche de poser ses pauvres pieds au sol en entier, sur la pointe, l'enfant essaie de regagner sa chambre et retient de ses yeux, ses larmes.


Une porte s'ouvre et quelqu'un l'a regarde d'un air inquiet.

Il ne lui adresse pas la parole, de peur qu'un surveillant le surprend s'adresser à une punie.


La fille l'ignore et entre lentement dans sa chambre, toujours pieds levés pour éviter d'avoir trop mal.

Elle alla directement sur le lit et se couvrit pour la nuit.

Il fait frisqué, le temps est froid en ce moment et les vitres des fenêtres sont cassées, comme toutes les autres de l'orphelinat.


La camarade ne se réveille pas, endormie depuis des heures.

La fillette se frotte les pieds ensemble afin de se réchauffer.


Elle a faim, elle n'a pas manger depuis midi, elle a loupé l'heure et est rentrée tard de l'école se trouvant à côté.


Très affamée, elle s'était pressée pour le dinez, mais s'était faites grillée par une surveillante.

Mme Avergier est la plus méchante femme de l'orphelinat, elle a fait subir pleins de punitions injustes sans motif.


Les enfants l'a craignent et l'évitent de la journée, si quiconque se met dans son chemin, il est puni et se retrouve dans le bureau de la directrice qui est aussi horrible qu'elle.



Au petit matin, la fillette se sent encore plus fragile et la douleur aux pieds s'est un peu atténuée.

Une cloche sonne et réveille tout les enfants qui auraient préféré dormir plus longtemps.


Il est Sept heures trente et c'est enfin le weekend, des couples vont arriver dans l'après-midi.

Les enfants se pressèrent pour ne pas être gronder, la gamine se leva et serra les dents de douleur.

La journée commence presque bien pour elle !


Elle se déshabilla et se vêtit autrement, une robe mauve blanche lui arrive légèrement au dessus de ses genoux, elle se coiffa et se les attacha en mini queue de cheval.


Ses cheveux bruns sont courts et carré comme une petite Chinoise, à la différence, les pointes tombent vers l'intérieur au naturel.

Il lui est presque impossible de se les attacher, mais elle fit un effort pour qu'ils soient maintenue, comme le souhaitent les adultes chez toutes les petites filles.


- Dépêchez-vous !! Sinon je vous donne des coups aux fesses et croyez bien que je n'irais pas doucement !! crie une surveillante.


Les deux camarades de chambre se regardent effrayées, elles sortirent et se mirent sur les côtés droite et gauche de leur porte.

La surveillante fit l'appel pour savoir si personne n'a tenter de s'enfuir pendant la nuit.


- Très bien Jasmine !

Tu as retenu qu'il ne faut pas faire de couettes, arriva bientôt l'adulte.


- Tu te sens mieux ? demande tout bas la camarade de la gamine blessée.


- Un peu, ment t-elle.


La surveillante demande de se taire et qu'elle arrive dans pas longtemps, elle réprimande Sacha une fillette de cinq ans qui a fait une natte de chaque côté de sa tête.


- Peut être que tu devrais laisser tes cheveux détacher ? propose la camarade de la fille blessée.


- Mauvaise idée, elle veux qu'on se les attache.

Sinon elle nous les coupe.


- Soso, tu ne dois pas succomber à leur désir stupide ! lui dit-elle.


- Qu'est ce qui se passe Amalia ? demanda la surveillante face aux deux filles.


- Rien Madame, baissa la tête celle ci.


- Tu es bavarde ce matin !

Prends exemple sur ta jeune camarade.

Ça lui a suffit la punition d'hier soir, on dirait bien.

C'est très rare que tu sois punie d'ailleurs, n'est ce pas Solène ?


La fille hocha la tête en signe de réponse, la surveillante fut assez satisfaite et partit pour finir la liste.


Cinq minutes plus tard, tous descendirent et mangèrent en silence, personne a droit de discuter, sauf les adultes.


Solène et Amalia se regardent, communiquant par des gestes de morse, elles ont étudier un livre à l'école pour pouvoir l'utiliser.

Personne ne remarque.


Plus tard, elles partirent après avoir fait une toilette rapide dans la cour arrière avec quelques filles de leur âge.

Elles se cachèrent des regards d'adultes afin de discuter.


- Alors les filles, qui veux partir aujourd'hui ?


- Toutes ! Mais on ne pourra pas arriver à faire adopter le groupe en une journée !! dit Amalia.


- C'est vrai !

On a qu'une seule chance !! hocha la tête Solène.


- Je sais qui devrait partir, proposa Justine Hibler.


Justine s'est fait abandonnée par sa mère alors qu'elle n'avait que quatre ans devant la porte de l'orphelinat.


Aujourd'hui, ces six filles: Amalia, Justine, Solène, Lola, Jasmine et Sofia ont sept ans.

Elles restent solidaires et sont comme des sœurs, mais savent qu'un jour, elles devront se séparer pour former une famille.


- Qui as-tu en tête ? demande Jasmine.


Sofia, Amalia et Lola se fixent, comme si elles savaient qui doit partir sans rien se dire.


- Soso ! disent-elles ensemble en regardant Solène.


- Euuh... on... on parle bien de Sofia, dites ? fit semblant de comprendre Solène.


Les filles pouffent de rires, mais leur amie n'est pas de leur avis.

Elle refuse de partir et préfère que ce soit quelqu'un d'autre, elle a surtout une idée fixe: faire adopter la petite Sacha.

Elle est jeune et s'est fait gronder à maintes reprises par des ados, parce qu'elle est lente dans tout ce qu'elle fait !


La veille, des grandes étaient allées la voir pour l'embêter et la traiter de tout les noms, parce que l'une de leurs amies s'était fait punir à cause de la lenteur de Sacha.

Celle ci devait laver le sol d'une des chambres de son étage, mais tellement que c'était long, elle n'a pas fait la seconde chambre qui lui avait été indiquer à laver après.

La grande qui devait la surveiller, lui avait demander de faire sa part mais tout ne s'est pas bien passé et la grande ado a dû subir la colère de la Directrice.



Les filles sont d'accord avec elle, mais l'ennuie pour elles, c'est qu'elles pensaient sauver leur amie à cause de ce qui s'était passé hier soir.


- Tu es en danger toi aussi et contrairement à elle, c'est ta toute première fois que t'as été gronder. Je regrette, mais tu partiras toi aussi aujourd'hui !! lui lance son amie Lola.


- Mais ce n'est pas possible Lola et je préfère rester avec vous, réplique Solène.


- Oublie la lettre de ta maman.

Elle a été brûler la feuille !

Tout comme la mienne ! Expire Amalia.


- Eh ! Arriva une jeune fille, il faut que vous venez les filles !!

Sinon vous allez vous faire punir !! les alerte Capucine Alati.


- On arrive !!


Les filles se rendirent à l'intérieur de l'orphelinat, des couples sont déjà là, alors que ce n'est pas encore l'heure des visites.

La Directrice présenta chacune fille de l'établissement.


- Chéris, la petite Sacha me fait tellement craquer, prenons la ! décide une femme.


- Très bien Chère Madame.

Venez, nous allons compléter donc les formalités pour l'adoption de Sacha ! fit venir La Directrice le couple dans son bureau.


Parmi les adolescentes, l'une d'elle se proposa d'aider Sacha à faire déjà sa valise, la petite cacha à tous son contentement.

Quand elle pu enfin partir avec ses tout nouveaux parents, elle se sentit déjà à l'aise avec eux.


- Appelle nous papa et maman.

Nous sommes heureux de t'avoir Sacha !


Solène à l'intérieur entend les cris de joie de Sacha, elle rêve que cet instant soit aussi son moment magique où elle rencontrerait deux personnes l'aimant pour toujours.


Deux autres plus jeunes furent aussi adopter, aucune du groupe de Solène fut choisit.

Puis se fut fini, les autres couples seront là pour l'après midi.


Les enfants retournèrent jouer ou travailler, car ici, ce ne sont pas les adultes qui font les taches ménagères.


Deux heures plus tard, Solène et ses amies furent appelées par des ados afin de faire à manger, car c'est les jeunes qui font les plats à la place de la cantinière qui est vieille et fainéante.

Elle ne fait plus son travail depuis dix ans et a prit sa retraite à l'âge de soixante quinze ans.

Elle fait travailler les enfants d'arrache pied depuis et leur fait faire aussi la vaisselle.



Lola épluche les pomme de terres, Justine et Solène coupent la viande et leurs autres amis font la sauce tomate, alias le ketchup,


- Dépêchez-vous ! Sinon je vous amène voir la Directrice !! menace la cantinière regardant sa télé.


- Si seulement on avait été adopter, on n'aurait pas eu à faire ça ! râle Amalia.


- Ch't ! On va se faire enguirlander sinon ! lui dit Sofia.


- Toi au moins, tu ne coupes pas les oignons !! lui fit remarquer Jasmine.


- SILENCE !! Hurla la cantinière.


Les enfants sursautèrent et se pressèrent, l'heure du midi arriva et le groupe de Solène servit dans les assiettes directement avant que leurs camarades de maison arrivent.


- Miam ! Des frites !! s'excite une petite fille en se jetant sur une assiette.


- Qui parle ? pose la Directrice.


Ne voyant personne se dénoncer, elle punit tout les enfants qui devront nettoyer l'orphelinat de fond en comble sans pause jusqu'à la fin de la journée.


Les enfants sortirent une heure plus tard, le groupe de Solène lava la vaisselle à la main, elles n'ont pas le droit d'utiliser la machine.


Quand elle eurent finit, de nouveaux couples arrivèrent au même moment et Solène ainsi que ses amies eurent à se laver une seconde fois pour être présentable.


Les couples prirent surtout de toutes petites filles de trois ans ou quatre ou cinq ans.

Les plus jeunes et les bébés furent de moins en moins nombreux dans l'orphelinat.

Solène espéra que l'une de ses amies se fasse adopter.


La journée s'acheva quelques heures plus tard et il n'y a plus de couples, soudain un jeune couple vint en retard.


- Il est tard Messieur Dame.

Notre établissement s'apprête à fermer, dit la Directrice.


- Oui, mais cela fait longtemps qu'on a compléter des feuilles pour une adoption.


- Et vous êtes ? demanda La Directrice.


- Mr et Mme Boulivasier.


- Mais oui, je me rappelle maintenant, venez dans mon bureau.

On y sera mieux et vous pourrez récupérer ensuite l'enfant, proposa la Directrice.


Certains jeunes dont Solène aussi, restèrent encore, qui a été choisis par eux ?


Quelques minutes s'écoulèrent et pour les enfants dix minutes c'est une éternité, mais la porte s'ouvrit enfin, Solène tourna la tête pour voir la femme et l'homme.

Deux ados lui demandèrent de se redresser et d'ignorer les adultes venant vers elles.


- Elle sera heureuse d'être avec vous. Elle est juste là ! indiqua d'un geste de tête la Directrice l'enfant.


- C'est toi Amalia donc, comme t'es jolie ! Tu es aussi magnifique que sur la photo !! pleure presque Mme Boulivasier.


- Oh Merci Madame ! rougit Amalia.


- Va chercher tes affaires.

Nous partons tout de suite Chérie.

Appelle moi maman à l'avenir, sourit la femme.


Amalia courut à l'étage et revint cinq minutes plus tard au rez-de-chaussée, elle regarda Solène qui se réjouit pour elle.

Amalia l'a serra fort dans ses bras, ainsi que pour Justine, Lola, Sofia, Jasmine.

Retenant ses larmes, Amalia partit et prit la main de sa nouvelle maman en sortant.


Solène sentit dans sa poitrine quelque chose de nouveau, comme une nouvelle sensation.

Elle se sent mal, malgré qu'elle soit contente pour son amie.


- C'est fini, allez !

Ca ne sert à rien de rester ici Bandes de fainéantes !!

Vous avez des taches à faire ! aboya la Directrice en partant.


Les filles partirent aussi, le soir arriva vite, le dinez fut servis par des plus grands, des ados de douze ans précisément.


Le repas fut très silencieux, surtout pour Solène qui regarde devant elle la chaise de son amie.

C'était avec Amalia qu'elle parlait beaucoup plus et pas seulement parce qu'elles savaient communiquer en morse.

Partout et même à l'école, elles étaient comme des sœurs.


Elles se sont connus presque bébés, Solène ne connait aucune personne de sa famille et Amalia aussi, elles partageaient pleins de choses ensemble.


Au lit, elle regarda le lit sur le côté, les larmes coulent désormais, personne ne peux la voir les verser.

L'absence de sa compagne de chambre l'a rend nostalgique et seule, avec elle, elle se sentait bien.

Elles se pelotonnaient l'une contre l'autre parfois pour se réchauffer, mais aussi pour se consoler.


Maintenant, la seule personne qui était avec elle dans la chambre n'est plus là pour lui faire un câlin et l'apaiser.

Elle aurait voulus entendre de gentils et petits mots doux.

Cela lui donnait l'impression d'avoir une maman près d'elle.


- Pourquoi tu m'as pas prise Ama ? je me serais pliée en deux pour t'avoir près de moi si j'avais été à ta place, pleure Solène.


Dans la pénombre, la fillette trouva peu à peu le sommeil, mais sans être rassurer de tout les dangers qui l'a guettent.

Quelle obstacle devra t'elle encore subir pour trouver le bonheur ?



31 de Maio de 2023 às 01:11 0 Denunciar Insira Seguir história
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