Comme chaque matin je me lève et m'habille d'un leggings et d'un tee-shirt pour aller courir. Après une petite heure de footing, je rentra et pris ma douche tandis que la mère préparait le petit déj'. Je mis mon uniforme et me rendit dans la cuisine pour manger un peu. Je fais un bisous à ma mère et mangez rapidement mon petit déj'. Après m'être brosser les dents je partis au collège.
Je me dirigea directement vers ma salle. Je n'avais pas vraiment d'amis et ça ne me posait aucuns problèmes. Pourquoi en fait toute une histoire ? Je suis très bien comme ça. La sonnerie retentit et les autres élèves de ma classe entrèrent avant que le prof arrive. Je regardais l'entrée avec impatiente et il entra, Chifuyu Matsuno. Mes yeux ne pouvais plus le quitter, ses cheveux blond, ses yeux bleu. Je dois bien avouer que je suis tombé amoureuse. Mais je ne suis pas la seule. Presque toutes les filles du collège sont raide dingue de sa beauté. Ces filles m'énerve; elles lui tournent tous le temps autour. Et vas-y que je te demande de l'aide en collant ma poitrine à ton bras pour la mettre en évidence. Et vas-y que je te fasse un câlin et que je colle mes seins à ton torse. Je ne les supporter plus, je me contente de le regarder de loin.
Je partis à la bibliothèque à la pause de midi, je serais au calme pour lire. J'adore faire du sport mais lire est aussi une de mes activités favorites. Je pris un livre sur les étagères et m'assis sur un pouf. Je ne sais pas depuis combien de temps je lisais mais une personne m'interrompit dans ma lecture. J'étais prête à lui répondre mais aucun son ne sortirent de ma bouche. Je le contemplais en inventant des centaines de scénarios jusqu'à ce que j'entends des cri. Un troupeau de fille venait de rentrer dans la bibliothèque et regarder dans tous les sens. Chifuyu s'était lui aussi retourner en entendant les cris hystériques de ses fan girls. Elles se rapprochèrent une fois de nous, je me leva pour partir. Je commença à partir mais il m'attrapa le bras avant que je ne sois trop loin. Les filles arrivèrent et commencèrent à crier. Chifuyu avait lui aussi l'air exaspérer. Il te tira vers lui et me chuchota quelque chose que je ne compris pas sur le moment mais lorsqu'il m'embrassa je compris tous le sens de sa phrase. Les filles furieuses partirent nous laissant seuls au milieu des livres. Chifuyu libéra mes lèvres puis me sourit avant de partir me laissant planter là comme un poteau couleur écrevisses.
Merci pour la lecture!
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