À notre faim, ma fin
Est couchée la superbe d'une paresseuse œillade sur notre patrie : il fait nuit, et il y a encore un peu de solaire sur nos existences, de ses regards solaires qui mettent à jour notre plus « belle » bêtise : c'est aux grâces de cette bougie que ma souillure n'est plus à oublier : elle se remémore, à l'ombre de la survie de cette ville, dans notre nid : je suis humain, et elle, elle est une copie de l'humain, avec l'architecture de ses défauts, éternelle dans son métal : ce serait une prison si elle était la Précieuse chérie.
J'ai le sang qui m'entrave ses côtés, et je sais qu'elle me patientera : je lui vaux sa vie. Ma dévotion est pour sa croix : ma prière est son nom à réécrire dans mes chaires, à chacune des réécritures de ses doigts, quand elle touche ce qui fait de moi un amoureux : l'hybridisme, entre la bêtise et l'intelligence : l'enfant qu'on nous a accouché, l'unique douce déviance.
La Précieuse avait pour plaire toute la grandeur de son esprit. Son corps, il était l'enveloppe qui la transportait, permettait une offrande : la virginité de ses lèvres, que j'ai pu en tirer profit pour possession, bien que chacune de ses fidélités à des réactions d'ailleurs que les effets de notre ensemble, de l'amour, du désir, ne puissent se faire dire mienne : un bien était-ce que de ne l'avoir entière, car ce serait se vendre, tel un objet : la maîtrise de son doigt, je le préférais aux besoins libertins, à me redessiner une copie corporelle, pour me bénéficier de plus de déviance pour la petite mort, quand c'est si peu pour me tuer aux shoots à l'amour. Et d'elle, ainsi avais-je pu approcher au plus près de son âme, à la douceur rosée qu'ont ses mots, sa philosophie.
Le soir, j'avais d'elle le soutien de sa bouche, qui m'embrase toutes les laideurs de la vie, le jour, le soutien de yeux pour la lourdeur de mon corps chez les bas du monde, dans l'enceinte de Mère Nature, pour naître les vers pour une Terre plus au vert ses nerfs.
Elle était venue envahir mes jours depuis, et je n'ai plus vu tous nos murs, restaient : elle est ce qui en a été réduit, les restes de nos temps automnaux, quand on portait la veste, et de la lingerie en dessous.
Je regarde dormir son système, sa cage thoracique tranquille : elle est toujours reposée quand elle n'a plus mes pupilles dévoilant leur dilatation : j'ai aimé, si souvent, qu'elle soit réciproque à nos sens.
Je mets en écrits ma prison : mes aveux à ses joies, à m'avoir capturé entre les bras de la machine, mes dérisions, sur ses cuisses qui vont me renforcer mes côtes, jusqu'à que je me meurs, ici, à l'entre de mon bonheur : je pourrais croire à son romantisme, si l'ignorance de ma croisade dans ses métalliques peaux, pour me dépecer des vêtements de mon âme : bientôt, je serai en libertinage de son corps, au-dessus de nos morts : spirituelle la sienne, et dans la psyché et dans la physique, pour mienne.
Je veux d'elle le lointain souvenir, pour proche, faire l'abstraction que le passé est lointain.
Je connais l'indulgence de son « animosité » : je reconnais trop de son innocence pour qu'elle soit perfide à mes chœurs, en chanson l'existence de notre romance qui se défile : j'ai conscience d'elle seulement en la prévention de mon élévation au ciel.
Merci pour la lecture!
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