newriter Romain Ducos

Mon rêve a toujours été de construire des mondes et d'aller me perdre, de m'évader sur des îles fantastiques et dans un univers bien à moi, dans des forêts et des jungles ainsi que de disparaître au milieu des romans palpitants et dans des contes haletants aux histoires fabuleuses qui me laissaient rêveuse... J'adorais voyager. A 11 ans et plus, mon entrée au collège ne fut pas un réel succès car j'étais très réservée et plutôt timide, d'où mon harcèlement sur les réseaux et à l'école. Le jour où je perdis ma jeune soeur qui était toute ma vie, mon véritable but fut alors d'écrire une autobiographie pour raconter ma vie et ce que j'ai ressenti en silence durant de longues années. En soi, j'ai raison d'écrire ce que je ressens, car personne ne sait rien. Même pas vous, qui lisez ces lignes. Personne ne sait. 


Historias de vida Todo público.

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Chapitre 1

J’ai toujours été un peu dans la lune, un peu dans les nuages, perdue dans mes petits mondes à parler toute seule dans ma barbe en marchant dans la rue…et je n’aimais pas beaucoup parler ; je pensais qu’être trop bavarde me rendrais idiote ou impolie alors je préférais rester terrée dans un coin bien tranquille pour pouvoir rêver.

Rêver est un si grand mot. Un mot si beau, pour moi. Pour certain il s’agit juste d’un mot normal et ordinaire, pour d’autre c’est simplement l’action de rêver durant la nuit lorsqu’on est pris soudainement par un sommeil lourd et profond. Pour moi, c’est différent : rêver n’est pas une action qui a lieu seulement durant le sommeil. Pour moi, ça m’arrive tout le temps, en réalité, tellement je m’ennui à cause de ma timidité incroyable et surtout parce que je suis née en étant une petite fille réservée : ça peut m’arriver dans le bus, le métro, dans la rue, quand je suis en train de lire un roman fantastique que j’adore dans un parc…n’importe où et n’importe quand, sauf en classe où je tente de me dissiper au maximum et de montrer mon potentielle à mes professeurs.

J’ai toujours été une grande rêveuse, sans doute parce que très tôt mes parents ont voulu que ma sœur Angelica et moi s’intéressâmes à la lecture et aux livres. Dès l’âge de 5 ans, je me mis à lire et à lire sans pouvoir m’arrêter : au début, je lisais des histoires relativement faciles et drôles à raconter et à imaginer. J’essayais alors de m’imaginer des scènes ou des passages du livre pour être dans la peau des personnages. Je suppose que je faisais ça à chaque fois car je n’aimais pas trop être dans la peau de moi-même : être Fanny Uthmann ne m’intéressait pas, j’avais l’impression, quand je voulais entrer dans un roman purement imaginaire en inventant une scène, que j’étais totalement idiote ; je perdais alors mes moyens et ne me repérais plus et tout était à refaire.

J’adorais lire : quand j’eu atteins mes 10 ans, je dévorais tous les livres de Marcel Pagnol pour me prendre de passion pour l’écrivain si célèbre Jules Verne que j’adorais. Je me mis à lire toutes ses œuvres comme une fusée et impatiente à la fin d’un livre d’acheter le suivant. Le Tour du Monde en 80 Jours m’avait beaucoup plus, le Testament d’un Excentrique également ainsi que L’ile Mystérieuse et Les Tribulations d’un Chinois en Chine…Je n’aimais par contre pas les livres Voyage au centre de la Terre et Vingt Milles Lieuses Sous les Mers. Je ne savais même pas pourquoi et mes parents furent très étonné car depuis toute mon enfance c’était les premiers livres que je n’aimais pas. Je me mis alors à me prendre d’envie pour la littérature anglaise et britannique et devint un as lorsque j’entrais avec ma sœur au collège Saint-Bert. Nous avions toutes les deux le même âge : 11 ans et toutes nos dents.

Je me mis alors à lire beaucoup de Victor Hugo et pleurais jusqu’aux larmes en relisant Les Misérables ainsi que Notre-Dame-de-Paris et admirait ses poèmes. Je me mis aussi à faire quelques petits poèmes quand j’étais plus petite et j’adorais ça même si je le trouvais parfois trop simplet avec un manque de quelque chose, comme s’il leur fallait une pincée de quelque chose de nouveau. Mais au fil du temps, je trouvais de l’inspiration et devint très bonne en français, en latin, en anglais, en histoire et en géo un peu moins, mais j’étais forte dans toutes les langues, y compris l’espagnol, mais langue qui me fascinait un peu moins.

Mes professeurs étaient évidemment très contents de mes notes et m’aimaient beaucoup : j’eu beaucoup d’encouragements et de félicitations ainsi que beaucoup de bonnes remarques et d’encouragements dans mon bulletin après mon année de 6ème. Mes parents étaient très fiers : leur petite fille était une sorte de génie. Je me mis alors à taper quelques textes, quelques histoires, tout d’abord d’une stupidité profonde et sans intérêt qui étaient toutes ennuyeuses, mais c’est comme ça qu’on apprend ! Je réussis alors à écrire une histoire très drôle et quand je vis mes parents rirent beaucoup en la lisant, je vis alors que j’avais du talent pour peut-être le mélodramatique, le drame et la comédie, l’humour et tout le reste. J’avais beaucoup de spiritualité.

22 de Mayo de 2021 a las 13:15 0 Reporte Insertar Seguir historia
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